Le zona touche plus de 230 000 personnes chaque année en France, causant des éruptions douloureuses et des complications potentiellement invalidantes. Heureusement, la vaccination zona offre désormais une protection efficace contre cette affection grâce au vaccin Shingrix. Depuis décembre 2024, une campagne nationale de promotion encourage activement la vaccination des personnes de 65 ans et plus, avec une prise en charge à 65% par l’Assurance Maladie. Cet article présente les informations essentielles sur cette maladie, le vaccin disponible, et les modalités de remboursement récemment mises en place.
(Article écrit sans aucun lien d’intérêt de l’auteur avec les laboratoires GSK, distribuant le vaccin Shingix.)
Points clés à retenir
- Le zona résulte de la réactivation du virus varicelle-zona (VZV) dormant après une varicelle contractée dans l’enfance
- En France, 5 à 10 cas de zona pour 1000 personnes âgées de 60 ans et plus sont recensés annuellement [1]
- Le vaccin Shingrix offre une efficacité de 91,3% chez les personnes de 50 ans et plus [2]
- La vaccination contre le zona est recommandée pour tous les adultes de 65 ans et plus et dès 18 ans pour les personnes immunodéprimées [3]
- Depuis le 14 décembre 2024, le vaccin est remboursé à 65% par l’Assurance Maladie [4]
- Le schéma vaccinal comprend 2 doses espacées de 2 à 6 mois, sans rappel nécessaire
- Les névralgies post-zostériennes touchent un quart des personnes de plus de 75 ans atteintes de zona [1]
Zona : symptômes, complications et importance de la vaccination
Le zona résulte de la réactivation du virus varicelle-zona (VZV) dormant dans les ganglions nerveux après une varicelle contractée généralement durant l’enfance. Cette réactivation du virus survient souvent plusieurs décennies après l’infection initiale et se manifeste par une éruption vésiculeuse douloureuse, généralement localisée sur un côté du corps.
En France, environ 230 000 personnes développent un zona chaque année, avec plus de 60% des cas de zona survenant chez les adultes de plus de 45 ans [1]. La fréquence augmente significativement avec l’âge, et le risque devient particulièrement élevé après 50 ans. Les données épidémiologiques officielles montrent que l’on observe 5 à 10 cas de zona pour 1000 personnes âgées de 60 ans et plus par an, faisant de cette affection un véritable enjeu de santé publique [1].
Les complications du zona peuvent être sévères et particulièrement invalidantes chez les personnes âgées. Les névralgies post-zostériennes touchent environ un quart des personnes de plus de 75 ans atteintes de zona, causant des douleurs persistantes qui peuvent durer plusieurs mois, voire années [1]. Ces douleurs chroniques affectent considérablement la qualité de vie des patients, perturbant leur sommeil, leur mobilité et leur capacité à réaliser les activités quotidiennes.
D’autres complications peuvent survenir, notamment des complications neurologiques comme des parésies segmentaires ou des paralysies des nerfs crâniens, des surinfections bactériennes des lésions cutanées, et dans de rares cas, des atteintes ophtalmologiques lors du zona ophtalmique. Ces complications sont particulièrement préoccupantes chez les personnes immunodéprimées et les sujets fragiles présentant une poly-pathologie.
La vaccination contre le zona diminue significativement le risque de développer la maladie et ses complications, notamment les douleurs post-zostériennes qui affectent considérablement la qualité de vie des patients. Cette prévention s’avère d’autant plus importante que le système immunitaire devient moins efficace avec l’âge pour maintenir le virus sous contrôle.

Vaccin Shingrix contre le zona : efficacité et schéma de vaccination
Le vaccin Shingrix est actuellement la référence en matière d’immunisation contre le virus varicelle-zona. Ce vaccin recombinant a remplacé l’ancien vaccin Zostavax, retiré en France en juin 2024 en raison de son efficacité moindre, particulièrement chez les personnes âgées et immunodéprimées [5].
Contrairement au Zostavax qui était un vaccin vivant atténué, Shingrix est un vaccin sous-unitaire recombinant contenant une glycoprotéine E du VZV et un adjuvant (AS01B) qui renforce la réponse immunitaire, même chez les sujets dont le système immunitaire est affaibli par l’âge.
Efficacité démontrée du vaccin Shingrix
Les études cliniques démontrent une efficacité remarquable du vaccin Shingrix :
Chez les personnes immunocompétentes : L’efficacité atteint 91,3% [IC95% 86,8-94,5] dans l’analyse groupée des études cliniques de phase III chez les sujets immunocompétents de 50 ans et plus [2]. Cette efficacité se maintient dans toutes les tranches d’âge, y compris chez les personnes de plus de 70 ans.
Chez les personnes immunodéprimées : L’efficacité est de 68,2% [IC95% 55,6-77,5] chez les sujets âgés de 18 ans et plus dont le système immunitaire est défaillant, notamment chez les patients ayant reçu une greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques [2].
Cette protection efficace s’étend également aux complications à long terme comme les névralgies post-zostériennes, réduisant significativement le risque de douleurs chroniques invalidantes.
Schéma vaccinal recommandé
Le schéma de vaccination zona comprend 2 doses intramusculaires espacées de 2 à 6 mois. Cette flexibilité dans l’espacement permet de s’adapter aux contraintes individuelles tout en maintenant une efficacité optimale.
Pour les personnes qui sont ou pourraient devenir immunodéprimées, la deuxième dose peut être administrée plus rapidement, entre 1 à 2 mois après la dose initiale, afin de bénéficier d’une protection plus rapide.
Aucune dose de rappel n’est nécessaire après la vaccination complète, ce qui simplifie considérablement le parcours vaccinal. Le vaccin peut également être administré selon le même schéma chez les personnes ayant antérieurement reçu le vaccin Zostavax, en respectant un délai d’au moins un an.
Vaccination zona : recommandations pour les 65 ans et plus et personnes immunodéprimées
La Haute Autorité de Santé (HAS) a émis des recommandations précises concernant la vaccination contre le zona, actualisées en février 2024 [3]. Ces recommandations s’inscrivent dans une démarche de santé publique visant à réduire l’incidence et la charge de cette maladie dans la population française.
Campagne nationale de promotion pour les 65 ans et plus
Depuis décembre 2024, les autorités sanitaires françaises mènent une campagne active de promotion de la vaccination zona auprès des personnes de 65 ans et plus. Cette campagne s’appuie sur des données épidémiologiques solides montrant que l’incidence du zona augmente significativement avec l’âge, passant de 1,3 à 5 cas pour 1000 dans la population générale à 5 à 10 cas pour 1000 chez les plus de 60 ans [1].
La campagne met l’accent sur plusieurs messages clés destinés aux 65 ans et plus :
L’importance de la prévention avant l’apparition des premiers symptômes, car une fois le zona déclaré, les traitements disponibles ont une efficacité limitée. La vaccination zona représente donc la seule stratégie véritablement efficace pour éviter cette affection douloureuse.
Le risque accru de complications avec l’âge, notamment les névralgies post-zostériennes qui peuvent persister des mois voire des années et altérer durablement la qualité de vie. Ces douleurs chroniques touchent particulièrement les personnes âgées, avec une incidence qui peut atteindre 25% chez les plus de 75 ans [1].
Populations cibles officielles
Les recommandations de la HAS définissent précisément les populations pour lesquelles la vaccination contre le zona est recommandée :
Tous les adultes de 65 ans et plus, indépendamment de leurs antécédents de varicelle ou d’herpès zoster. (le terme « herpès zoster » est le nom médical du zona)
Cette recommandation universelle pour cette tranche d’âge reflète l’augmentation significative du risque et de la sévérité du zona après 65 ans.
Les personnes immunodéprimées dès 18 ans, incluant les patients atteints de VIH, les receveurs de greffe, les personnes sous traitements immunosuppresseurs, et celles présentant des déficits immunitaires congénitaux ou acquis. Pour cette population particulièrement vulnérable, la vaccination est recommandée dès l’âge adulte en raison du risque élevé de formes sévères et compliquées.
Le vaccin est également recommandé pour les personnes ayant déjà eu un épisode de zona ou ayant précédemment reçu le vaccin Zostavax, en respectant un délai d’au moins un an avant la première dose de Shingrix.
Ces recommandations sont justifiées par l’incidence élevée de la maladie dans ces populations et par l’efficacité démontrée du vaccin Shingrix. La vaccination zona s’inscrit dans une approche globale de prévention des maladies infectieuses chez les personnes âgées, au même titre que d’autres vaccinations comme celle contre la grippe saisonnière ou le pneumocoque.

Prise en charge et remboursement du vaccin zona depuis décembre 2024
Une avancée majeure dans l’accessibilité à cette protection a été réalisée récemment. Depuis le 14 décembre 2024, le vaccin Shingrix est remboursé à 65% par l’Assurance Maladie pour les populations cibles définies par les recommandations officielles [4].
Modalités de remboursement
Le taux de remboursement est fixé à 65% sur la base de 188,37 euros TTC par dose [2]. Pour un schéma complet de deux doses, le coût total s’élève donc à 376,74 euros TTC, avec une prise en charge de l’Assurance Maladie de 244,88 euros, laissant un reste à charge d’environ 131,86 euros pour le patient.
Pour les adultes de 65 ans et plus dont le système immunitaire est défaillant, la prise en charge peut être encore plus avantageuse avec un remboursement à 100% dans certaines situations, éliminant ainsi toute barrière financière à la vaccination.
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Les mutuelles santé complètent souvent le remboursement de base. Pour une couverture de 65 %, certaines mutuelles remboursent les 35 % restants, voire parfois plus (option « reste à charge 0 € »).
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Cela dépend fortement du niveau de garantie que vous avez souscrit (bronze, argent, or, etc.).
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Il est donc recommandé de vérifier votre contrat ou de demander directement à votre mutuelle quel montant ils prennent en charge.
Facilitation de l’accès
Cette décision de l’Assurance Maladie représente une reconnaissance importante du fardeau que constitue le zona et de l’efficacité de la prévention par la vaccination zona. Le dispositif s’inscrit dans une politique de santé publique visant à réduire l’incidence et la charge de la maladie dans la population.
Points importants concernant ce remboursement :
Le vaccin est disponible en dehors des établissements de santé, facilitant l’accès à la vaccination pour les personnes âgées qui peuvent ainsi se faire vacciner chez leur médecin traitant ou en pharmacie.
La Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) assure également la prise en charge des soins liés aux complications du zona, soulignant l’intérêt économique de la prévention par rapport au traitement des complications.
Cette prise en charge met fin au dispositif d’accès direct dont bénéficiait Shingrix depuis mai 2024, simplifiant les démarches administratives pour les patients et les professionnels de santé.
Professionnels de santé habilités pour la vaccination contre le zona
L’accès au vaccin contre le zona a été significativement facilité grâce à l’élargissement des professionnels de santé autorisés à intervenir dans le parcours vaccinal. Cette diversification des acteurs vise à augmenter la couverture vaccinale et à réduire les obstacles liés à l’accès aux soins, particulièrement importants chez les personnes âgées qui peuvent avoir des difficultés de mobilité.
Professionnels autorisés
Les médecins généralistes et spécialistes peuvent prescrire et administrer Shingrix dans le cadre de leur pratique habituelle. Cette compétence s’inscrit naturellement dans le suivi médical régulier des 65 ans et plus, permettant d’intégrer la vaccination zona lors des consultations de routine.
Les pharmaciens, après formation adéquate, sont habilités à la prescription et l’administration du vaccin zona. Cette extension de compétences représente un atout majeur pour l’accessibilité, les pharmacies étant souvent plus facilement accessibles que les cabinets médicaux, particulièrement en zones rurales ou pour les personnes âgées à mobilité réduite.
Les infirmiers sont autorisés à administrer le vaccin sur prescription médicale, offrant une flexibilité supplémentaire dans l’organisation des soins, notamment pour les patients suivis à domicile ou en établissements de soins.
Les biologistes peuvent, dans le cadre de protocoles spécifiques, également administrer le vaccin, élargissant encore les possibilités d’accès à la vaccination contre le zona.
Situations particulières
Pour les cas particuliers comme les femmes allaitantes ou les patients présentant des comorbidités complexes, une évaluation au cas par cas est recommandée par le médecin traitant afin de peser les bénéfices potentiels et les risques individuels.
Ce réseau élargi de professionnels vise à augmenter la couverture vaccinale dans la population cible, particulièrement chez les 65 ans et plus qui constituent la priorité de la campagne nationale de promotion de la vaccination zona.

Effets indésirables et contre-indications du vaccin Shingrix
Comme tout médicament, le vaccin Shingrix peut provoquer des effets indésirables, bien que la majorité soient d’intensité légère à modérée et de courte durée. La connaissance de ces effets permet aux patients de prendre une décision éclairée concernant leur vaccination zona.
Effets indésirables fréquents
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés concernent principalement des réactions au site d’injection et des symptômes généraux transitoires [6] :
Réactions locales très fréquentes (plus de 10% des patients) : douleur au site d’injection touchant 68,1% des personnes vaccinées, avec 3,8% d’intensité sévère, rougeur, gonflement et parfois prurit au point d’injection.
Symptômes généraux fréquents : fatigue (32,2% des cas), myalgie ou douleurs musculaires (32,9%), céphalées (26,3%), frissons et fièvre. Ces symptômes reflètent l’activation du système immunitaire par l’adjuvant AS01B contenu dans le vaccin.
Effets gastro-intestinaux : nausées, vomissements, diarrhée ou douleurs abdominales peuvent survenir chez 1 à 10% des patients.
Durée et intensité des effets
La plupart des effets indésirables sont de courte durée, avec une médiane de 2 à 3 jours. Cette réactogénicité plus élevée que d’autres vaccins s’explique par la présence de l’adjuvant AS01B, nécessaire pour stimuler efficacement la réponse immunitaire, particulièrement chez les personnes âgées dont le système immunitaire est naturellement affaibli.
Effets rares mais à surveiller
Des réactions d’hypersensibilité incluant éruption cutanée, urticaire ou angio-œdème peuvent survenir de manière rare. Une surveillance post-commercialisation a identifié un risque potentiel de syndrome de Guillain-Barré, estimé à 3 cas supplémentaires par million de doses administrées dans les 42 jours suivant la vaccination [6].
Contre-indications
La principale contre-indication est l’hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipients du vaccin. La vaccination doit être différée en cas de maladie fébrile aiguë sévère, bien qu’une infection mineure comme un rhume ne constitue pas une contre-indication.
Populations particulières
Chez les personnes immunodéprimées âgées de 18 ans et plus, le profil de tolérance est comparable à celui observé chez les adultes immunocompétents, confirmant la sécurité du vaccin dans cette population vulnérable [6].
Réticences à la vaccination : comprendre les objections
Malgré les recommandations officielles, certaines personnes expriment des réticences à la vaccination contre le zona. Ces hésitations méritent d’être abordées dans le cadre d’un dialogue respectueux entre patients et professionnels de santé.
Principales objections exprimées
L’inquiétude concernant les effets secondaires constitue la première source de réticence. Certains patients s’interrogent : « Pourquoi s’infliger volontairement des douleurs et de la fatigue pour prévenir une maladie qui ne me touchera peut-être jamais ? » Cette position trouve un écho chez les personnes ayant vécu des expériences négatives avec d’autres vaccinations.
La remise en question de la nécessité représente une autre objection. « Nos grands-parents ont vécu sans ce vaccin, pourquoi en aurions-nous besoin aujourd’hui ? » questionnent certains, qui voient dans cette recommandation une médicalisation excessive du vieillissement.
Les préoccupations économiques alimentent également les réticences, le coût élevé du vaccin suscitant des interrogations sur les motivations réelles de cette recommandation.
Réponses des professionnels de santé
Face à ces objections, les professionnels rappellent que les effets indésirables sont majoritairement transitoires et disparaissent en 2 à 3 jours, tandis que les névralgies post-zostériennes peuvent persister des mois voire des années. Les données montrent que 20% de la population développera au moins un zona au cours de sa vie, avec des complications potentiellement invalidantes chez les 65 ans et plus.
Dialogue et choix éclairé
L’objectif n’est pas de convaincre à tout prix, mais de permettre à chacun de faire un choix en connaissance de cause. Cette approche respectueuse du pluralisme des opinions contribue à maintenir la confiance dans le système de santé tout en préservant l’autonomie des patients dans leurs décisions médicales.
Vaccination zona : points essentiels et cas de zona à prévenir
La vaccination contre le zona représente une avancée majeure dans la prévention d’une maladie douloureuse qui touche principalement les adultes de plus de 50 ans. Avec le remboursement du vaccin Shingrix depuis décembre 2024, la protection contre cette infection est désormais plus accessible, contribuant à réduire la charge de cette maladie et ses complications invalidantes.
Messages clés de la campagne nationale
La campagne actuelle de promotion auprès des 65 ans et plus met l’accent sur plusieurs points essentiels :
Le zona est causé par la réactivation du virus varicelle-zona (VZV) resté dormant après une infection par la varicelle. En France, 230 000 personnes développent un zona chaque année, majoritairement des adultes de plus de 50 ans.
Le vaccin Shingrix offre une protection efficace contre le zona et ses complications, avec une efficacité de 91,3% chez les personnes de 50 ans et plus et de 68,2% chez les personnes immunodéprimées.
La vaccination zona est recommandée pour tous les adultes de 65 ans et plus et dès 18 ans pour les personnes immunodéprimées. Depuis décembre 2024, le vaccin est remboursé à 65% par l’Assurance Maladie.
De nombreux professionnels de santé peuvent désormais prescrire et administrer le vaccin, facilitant l’accès à cette protection pour les 65 ans et plus.
Importance de la prévention
La prévention des complications invalidantes comme les douleurs post-zostériennes justifie pleinement cette stratégie vaccinale. Ces névralgies chroniques touchent particulièrement les personnes âgées, avec une incidence pouvant atteindre 25% chez les plus de 75 ans.
N’attendez pas de développer un zona pour agir : parlez à votre médecin traitant de la vaccination zona lors de votre prochaine consultation pour évaluer si elle est recommandée dans votre situation, particulièrement si vous avez 65 ans et plus ou si vous présentez une immunodépression.
Bibliographie
[1] Vaccination Info Service. Zona. Mis à jour le 29.04.2025. Disponible sur : https://vaccination-info-service.fr/Les-maladies-et-leurs-vaccins/Zona
[2] Vidal. Vaccination contre le zona : SHINGRIX remboursable dans le droit commun. 10 décembre 2024. Disponible sur : https://www.vidal.fr/actualites/31095-vaccination-contre-le-zona-shingrix-remboursable-dans-le-droit-commun.html
[3] Vaccination Info Service Professionnel. Zona. Mis à jour le 22.01.2025. Disponible sur : https://professionnels.vaccination-info-service.fr/Maladies-et-leurs-vaccins/Zona
[4] Service Public. La prise en charge de la vaccination contre le zona évolue. 16 décembre 2024. Disponible sur : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A17925
[5] Haute Autorité de Santé. Recommandations vaccinales contre le Zona. Place du vaccin Shingrix. 29 février 2024. Disponible sur : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3498915/fr/recommandations-vaccinales-contre-le-zona-place-du-vaccin-shingrix
[6] MesVaccins.net. SHINGRIX. Dernière mise à jour le 31/12/2024. Disponible sur : https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/567-shingrix
Note : Cet article a été rédigé avec l’aide de l’intelligence artificielle, notamment pour l’assistance à la rédaction et à l’illustration. Le contenu a été soigneusement relu, validé et complété par l’auteur pour garantir sa fiabilité et sa pertinence.
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